- EAN13
- 9782916724744
- ISBN
- 978-2-916724-74-4
- Éditeur
- TriArtis
- Date de publication
- 21/06/2016
- Poids
- 50 g
- Fiches UNIMARC
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Offres
« Pendant tout ce temps que je m’épuise, que je me tue à amuser ma foutue
patrie, je suis entouré d’ennemis, de persécutions et de malheurs ».
Presque une vie entière d’exil. Entre la Bastille et le retour en triomphe à Paris,
cinq décennies de luttes. Cinquante ans de lettres aux Grands d’Europe, aux phi-
losophes, aux amis ou ennemis. Un combat, toujours, contre l’Infâme.
« Et pourtant, plus on est vieux et malade, plus il faut rire.
En effet, Voltaire rit de ce petit tas de boue qu’est le monde, des règles qui le
gouvernent, des maladies qui l’assaillent, des autres et de lui-même. Le diable
d’homme bâtit son empire, celui des lettres, et une ville, celle de Ferney près de
Genève, où il accueille l’Europe entière et les meilleurs horlogers sous le blocus
voulu par Choiseul. Ce qui le fait bénéficier d’un trafic juteux auprès de son amie
la Grande Catherine de Russie !
« Ma tête de quatre-vingt-quatre ans n’en a que quinze. Des philosophes écrivent
sur la liberté ; et moi, je me suis fait libre. »
Dans cette fine adaptation de la correspondance qui court sur près d’un demi-
siècle, la lecture devient un régal ; tant la bonhomie feinte, le sarcasme au service
de la justice, le ton persifleur, en un mot, l’esprit voltairien y déploie toute son
génie.
patrie, je suis entouré d’ennemis, de persécutions et de malheurs ».
Presque une vie entière d’exil. Entre la Bastille et le retour en triomphe à Paris,
cinq décennies de luttes. Cinquante ans de lettres aux Grands d’Europe, aux phi-
losophes, aux amis ou ennemis. Un combat, toujours, contre l’Infâme.
« Et pourtant, plus on est vieux et malade, plus il faut rire.
En effet, Voltaire rit de ce petit tas de boue qu’est le monde, des règles qui le
gouvernent, des maladies qui l’assaillent, des autres et de lui-même. Le diable
d’homme bâtit son empire, celui des lettres, et une ville, celle de Ferney près de
Genève, où il accueille l’Europe entière et les meilleurs horlogers sous le blocus
voulu par Choiseul. Ce qui le fait bénéficier d’un trafic juteux auprès de son amie
la Grande Catherine de Russie !
« Ma tête de quatre-vingt-quatre ans n’en a que quinze. Des philosophes écrivent
sur la liberté ; et moi, je me suis fait libre. »
Dans cette fine adaptation de la correspondance qui court sur près d’un demi-
siècle, la lecture devient un régal ; tant la bonhomie feinte, le sarcasme au service
de la justice, le ton persifleur, en un mot, l’esprit voltairien y déploie toute son
génie.
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