- EAN13
- 9791039200585
- Éditeur
- Archipoche
- Date de publication
- 07/10/2021
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Archipoche 8,95
A l'occasion du centenaire de la naissance de Georges Brassens, le Sétois
Bernard Lonjon nous invite à la découverte de la jeunesse tumultueuse de
l'artiste.
Entré en chanson par effraction, Brassens a montré les angoisses des hommes et
leur cruauté tout en dénonçant leurs bêtises.
Des bêtises ? Lui aussi en a commis dans sa jeunesse. Ce livre révèle, grâce à
des documents inédits, les dessous de l'affaire des vols de bijoux, à Sète, en
1938 et 1939. Déroulé des arrestations, interrogatoires au commissariat et
minutes du procès viennent appuyer les faits. Et montrent que le jeune
Brassens, entraîné par sa bande de copains, y a pris une large part.
Et ce pour notre plus grand bonheur car ces événements sont devenus fondateurs
de l'oeuvre du barde sétois. Sans eux, pas de " mauvaise herbe ", de "
mauvaise réputation ", de " Je suis un voyou ". Il l'a souvent dit : " Si je
n'étais pas chanteur, c'est voleur que j'aurais été. Pas un escroc ni un
assassin. Je ne me vois pas en train de buter un mec, non ; mais voleur oui,
piquer du fric... Ça doit être bath. "
Un livre qui vient conforter notre vision de l'esprit libertaire de Brassens.
Bernard Lonjon nous invite à la découverte de la jeunesse tumultueuse de
l'artiste.
Entré en chanson par effraction, Brassens a montré les angoisses des hommes et
leur cruauté tout en dénonçant leurs bêtises.
Des bêtises ? Lui aussi en a commis dans sa jeunesse. Ce livre révèle, grâce à
des documents inédits, les dessous de l'affaire des vols de bijoux, à Sète, en
1938 et 1939. Déroulé des arrestations, interrogatoires au commissariat et
minutes du procès viennent appuyer les faits. Et montrent que le jeune
Brassens, entraîné par sa bande de copains, y a pris une large part.
Et ce pour notre plus grand bonheur car ces événements sont devenus fondateurs
de l'oeuvre du barde sétois. Sans eux, pas de " mauvaise herbe ", de "
mauvaise réputation ", de " Je suis un voyou ". Il l'a souvent dit : " Si je
n'étais pas chanteur, c'est voleur que j'aurais été. Pas un escroc ni un
assassin. Je ne me vois pas en train de buter un mec, non ; mais voleur oui,
piquer du fric... Ça doit être bath. "
Un livre qui vient conforter notre vision de l'esprit libertaire de Brassens.
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