- EAN13
- 9782824901558
- Éditeur
- République des Lettres
- Date de publication
- 08/11/2013
- Collection
- Franc-Tireur
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
Dans ces deux textes majeurs du syndicalisme révolutionnaire français, le
fondateur du journal anarchiste "Le Père peinard" expose ses théories sur
l'action directe, la grève générale, le boycott et le sabotage comme
instruments de lutte préalables à la révolution. Il s'en prend directement aux
institutions et aux représentants du capitalisme, mais aussi à certaines
illusions et duperies de la lutte politique, y compris celles des partis
ouvriers à l'égard du peuple. A l'époque pleinement investi dans la lutte
syndicale comme co-directeur de "La Voix du Peuple" et Secrétaire adjoint de
la toute jeune Confédération Générale du Travail (CGT), où il défend la
tendance révolutionnaire du syndicalisme contre les réformistes, il justifie
sa célèbre maxime "À mauvaise paye mauvais travail !" en faisant adopter ces
principes comme moyens d'action du mouvement ouvrier sur le patronat. Un
siècle plus tard, ces deux beaux textes de combat n'ont pas pris une ride.
fondateur du journal anarchiste "Le Père peinard" expose ses théories sur
l'action directe, la grève générale, le boycott et le sabotage comme
instruments de lutte préalables à la révolution. Il s'en prend directement aux
institutions et aux représentants du capitalisme, mais aussi à certaines
illusions et duperies de la lutte politique, y compris celles des partis
ouvriers à l'égard du peuple. A l'époque pleinement investi dans la lutte
syndicale comme co-directeur de "La Voix du Peuple" et Secrétaire adjoint de
la toute jeune Confédération Générale du Travail (CGT), où il défend la
tendance révolutionnaire du syndicalisme contre les réformistes, il justifie
sa célèbre maxime "À mauvaise paye mauvais travail !" en faisant adopter ces
principes comme moyens d'action du mouvement ouvrier sur le patronat. Un
siècle plus tard, ces deux beaux textes de combat n'ont pas pris une ride.
S'identifier pour envoyer des commentaires.