- EAN13
- 9782818011607
- Éditeur
- P.O.L.
- Date de publication
- 13/10/2011
- Collection
- Fiction
- Langue
- français
- Langue d'origine
- moldave, roumain
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - P.O.L. 20,85
Cela commence à New York avec Dieu le Père et un tableau qui le représente,
volé au Louvre par la bande du fameux gangster roumain, Gigi Kent. Cela
continue à Paris, à Vienne, à Budapest, pour finir au fin fond du Maramures
(prononcer Maramouresh), région inspirée du nord de la Roumanie où se trouve,
paraît-il, le centre de l'Europe. Mais le Maramures (prononcer Maramouresh)
existe-t-il? Est-il un simple rêve ou bien un cauchemar? Dans le Maramures
(prononcer Maramouresh) de Tsepeneag, en tous cas, les ovnis remplacent les
aigles, les désenvoûtements tournent à la science-fiction et la sorcellerie
n'est d'aucun secours à l'auteur de ces pages. Il n'échappera pas à son sort,
son sort écrit, bien sûr. Et puisque, tel Dieu le Père, il est fait à l'image
de ses créatures, il paiera pour les personnages qu'il a commis : seul
coupable, en vérité, il doit disparaître. Quelle autre issue possible,
d'ailleurs, pour un écrivain arrivé au terme d'un récit qui est, entre autres,
un polar érotico-comique, une fable politique, une équipée délirante, un
traité de savoir-écrire, un monstrueux apologue?
volé au Louvre par la bande du fameux gangster roumain, Gigi Kent. Cela
continue à Paris, à Vienne, à Budapest, pour finir au fin fond du Maramures
(prononcer Maramouresh), région inspirée du nord de la Roumanie où se trouve,
paraît-il, le centre de l'Europe. Mais le Maramures (prononcer Maramouresh)
existe-t-il? Est-il un simple rêve ou bien un cauchemar? Dans le Maramures
(prononcer Maramouresh) de Tsepeneag, en tous cas, les ovnis remplacent les
aigles, les désenvoûtements tournent à la science-fiction et la sorcellerie
n'est d'aucun secours à l'auteur de ces pages. Il n'échappera pas à son sort,
son sort écrit, bien sûr. Et puisque, tel Dieu le Père, il est fait à l'image
de ses créatures, il paiera pour les personnages qu'il a commis : seul
coupable, en vérité, il doit disparaître. Quelle autre issue possible,
d'ailleurs, pour un écrivain arrivé au terme d'un récit qui est, entre autres,
un polar érotico-comique, une fable politique, une équipée délirante, un
traité de savoir-écrire, un monstrueux apologue?
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