- EAN13
- 9782755502572
- Éditeur
- Fayard/Mille et une nuits
- Date de publication
- 14/01/2009
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Prenons parti.
Pour un socialisme du XXIe siècle
Olivier Besancenot, Daniel Bensaïd
Fayard/Mille et une nuits
Autre version disponible
Le capitalisme est malade. Les anticapitalistes ne sont plus les seuls à le
diagnostiquer. Il y a encore quelques mois, les tenants du nouvel ordre
mondial n'avaient pas de mots assez flatteurs pour vanter les mérites
indépassables de l'économie de marché. Si c'est la soupe à la grimace pour
tous ceux — patrons, banquiers et spéculateurs — qui ont vu leurs avoirs
fondre comme neige au soleil, la situation est autrement dramatique pour nous,
simples salariés. Le monde est entré en récession à l'automne 2008. Chacun
sait, chez les travailleurs, les retraités, les chômeurs, au sein des
familles, que des nuages noirs s'accumulent à l'horizon, et que nous allons
payer la débâcle du système.
L'exaspération sociale gronde. Elle peut gronder plus fort encore à la base de
la société. Au sommet, dans les sphères économiques et politiques, les
stratèges du capitalisme ne sont pas d'accord entre eux. Mais le président
Sarkozy et le Medef s'entendent à continuer leur casse sociale… Pour nous, pas
d'hésitation : nous combattons le modèle défaillant de la contre-réforme
néolibérale.
Renverser le capitalisme, nous le voulons. Pour bâtir une nouvelle société,
solidaire et réellement démocratique, nous sommes déterminés à ne plus subir,
à nous regrouper et à prendre parti.
diagnostiquer. Il y a encore quelques mois, les tenants du nouvel ordre
mondial n'avaient pas de mots assez flatteurs pour vanter les mérites
indépassables de l'économie de marché. Si c'est la soupe à la grimace pour
tous ceux — patrons, banquiers et spéculateurs — qui ont vu leurs avoirs
fondre comme neige au soleil, la situation est autrement dramatique pour nous,
simples salariés. Le monde est entré en récession à l'automne 2008. Chacun
sait, chez les travailleurs, les retraités, les chômeurs, au sein des
familles, que des nuages noirs s'accumulent à l'horizon, et que nous allons
payer la débâcle du système.
L'exaspération sociale gronde. Elle peut gronder plus fort encore à la base de
la société. Au sommet, dans les sphères économiques et politiques, les
stratèges du capitalisme ne sont pas d'accord entre eux. Mais le président
Sarkozy et le Medef s'entendent à continuer leur casse sociale… Pour nous, pas
d'hésitation : nous combattons le modèle défaillant de la contre-réforme
néolibérale.
Renverser le capitalisme, nous le voulons. Pour bâtir une nouvelle société,
solidaire et réellement démocratique, nous sommes déterminés à ne plus subir,
à nous regrouper et à prendre parti.
S'identifier pour envoyer des commentaires.