- EAN13
- 9782369356042
- ISBN
- 978-2-36935-604-2
- Éditeur
- Le Passager Clandestin
- Date de publication
- 04/10/2024
- Collection
- Dyschroniques
- Nombre de pages
- 96
- Dimensions
- 17 x 11 x 0,8 cm
- Poids
- 84 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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La totalité de la population humaine a été déplacée aléatoirement, parfois à l’autre bout de la planète. Lawson, ancien militaire et père de famille originaire de Virginie, se réveille ainsi à Séville, cerné par une foule en proie à la terreur. Sans explication, la ville est envahie de personnes issues de toutes nations, et rassemblées par le hasard. Avec quelques personnes parlant la même langue, il va tenter de rentrer chez lui…
L’écriture subtile de Michael Bishop résonne étrangement, à l’heure où des populations entières sont déracinées par les conflits. Cette nouvelle est également une réflexion sur l’ampleur du bouleversement qui obligerait l’humanité à remettre enfin en question l’ordre actuel du monde et à bâtir un « monde d’après » viable.
Imaginaire au pouvoir Les littératures de l’imaginaire, et plus encore la science-fiction, ont longtemps été considérées comme un simple vecteur de divertissement ou d’évasion. Aujourd’hui encore, c’est surtout par les essais que se transmettent les idées. La SF, cette « littérature du pas de côté », a pourtant un potentiel politique immense, soutient Vincent Gerber.
De Philip K. Dick à Kim Stanley Robinson, en passant par Ursula K. Le Guin, Alain Damasio et bien d’autres, il nous entraîne dans un voyage vers des mondes lointains qui pourtant éclairent le nôtre. Si elle n’est pas divinatoire, la science-fiction permet de décadrer le regard. Elle peut avertir, prévenir, révéler les brèches du système. C’est la littérature de l’expérimentation des possibles – scientifiques, mais aussi humains et sociétaux.
Alors que l’horizon est incertain et que nos vies prennent des accents dystopiques, ce livre est une invitation à abreuver nos imaginaires à d’autres sources que celles que le réel nous tend. Pour bâtir des futurs plus désirables, renouons avec l’utopie !
L’écriture subtile de Michael Bishop résonne étrangement, à l’heure où des populations entières sont déracinées par les conflits. Cette nouvelle est également une réflexion sur l’ampleur du bouleversement qui obligerait l’humanité à remettre enfin en question l’ordre actuel du monde et à bâtir un « monde d’après » viable.
Imaginaire au pouvoir Les littératures de l’imaginaire, et plus encore la science-fiction, ont longtemps été considérées comme un simple vecteur de divertissement ou d’évasion. Aujourd’hui encore, c’est surtout par les essais que se transmettent les idées. La SF, cette « littérature du pas de côté », a pourtant un potentiel politique immense, soutient Vincent Gerber.
De Philip K. Dick à Kim Stanley Robinson, en passant par Ursula K. Le Guin, Alain Damasio et bien d’autres, il nous entraîne dans un voyage vers des mondes lointains qui pourtant éclairent le nôtre. Si elle n’est pas divinatoire, la science-fiction permet de décadrer le regard. Elle peut avertir, prévenir, révéler les brèches du système. C’est la littérature de l’expérimentation des possibles – scientifiques, mais aussi humains et sociétaux.
Alors que l’horizon est incertain et que nos vies prennent des accents dystopiques, ce livre est une invitation à abreuver nos imaginaires à d’autres sources que celles que le réel nous tend. Pour bâtir des futurs plus désirables, renouons avec l’utopie !
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